Besse-et-Saint-Anastaise

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Pas de ressources actuelle­ment.

Au pays des mille et une sources, la « capitale des montagnes » affiche de belles maisons en pierre grise volcanique aux toits d’ardoises ou de lauzes. Durant la saison estivale, une foule se presse devant les étals des marchés de pays, prouvant que la ville est restée un carrefour commercial, comme au Moyen Âge.

Tourisme patrimonial

Église Saint-André : bâti sur une coulée de lave, c’est un édifice composite, roman (fin 12e s.), avec un chœur gothique datant de 1555 (restauré au 19e s.) et des chapelles latérales des 17e et 18e s. Les chapiteaux, de qualité, sont décorés de feuillages ou
historiés (repas et mort du mauvais riche, crucifiement de saint André, curieuse scène de sacrifice, dresseurs de singe…)

Rue des Boucheries : très pittoresque avec ses maisons bâties en lave sombre. Vous vous arrêterez devant la maison dite de la reine Margot, du 15e s. L’édifice abrite aujourd’hui le musée du Ski.

Porte de ville : cette porte médiévale fut remaniée au 16e s. Elle est protégée par une barbacane bien préservée.

Super-Besse : station d’altitude de Besse nichée à 1 350 m, Super-Besse, fréquentée l’été pour son cadre reposant, s’est d’abord développée comme station de sports d’hiver, à partir de 1961.

Puy de Montchal : du sommet (alt. 1 411 m) se découvre un magnifique panoramaaa sur le massif du Mont-Dore, les monts Dôme, les vallées des Couzes et la Comté, les monts du Livradois et le Forez. Au premier plan, le puy et le lac de Montcineyre.